La culture façonne les pratiques managériales.

Ainsi, dans les pays anglosaxons, l’approche du travail peut paraître très pratique et « result oriented« . Dans la communication par mail par exemple, les subtilités sont laissées de côté dans un souci d’efficacité et de gain de temps.

En Chine, en revanche, le silence est une partie importante de la discussion et de la négociation pour démontrer une bonne écoute et une bonne contemplation. L’accent mis sur le Guanxi – développer des relations personnelles plutôt que professionnelles avec des collègues et des partenaires – imprègne le Business en Chine.

Devant une internationalisation accrue des entreprises, celles-ci doivent donc prendre en compte ces différences culturelles afin de mener à bien leurs projets impliquant des équipes dispersées dans le monde.

On parle alors de management interculturel.

Le management interculturel consiste à ouvrir la conversation sur les nuances des différentes approches culturelles en entreprise afin que les managers soient conscients de ces différences d’attitude et de comportement et puissent y répondre. Plus qu’une simple prise de conscience, le management interculturel est une compréhension et un respect des autres cultures dans un contexte professionnel international. En pratique, cela signifie que les différences culturelles sont reconnues et gérées ouvertement, plutôt qu’ignorées.

Des équipes bien formées sur ces thématiques seront à même de surmonter les risques liés à l’internationalisation : difficultés de communication, visions différentes, manque de cohésion entre les équipes, risque de mal interprétation, exigences administratives supplémentaires, retards de livraison, etc.

Les consultants Arsia Mons sont formés à ces problématiques et mènent à bien des projets de transformation en contexte international pour différentes industries. Contactez-nous pour en savoir plus.